mardi 16 octobre 2012

- ATOL s'associe à l'ESAT de Beaune.

ATOL vient de signer un partenariat avec l'Etablissement et Service d'Aide par le Travail (ESAT) de Beaune "Les Ateliers de Bourgogne". Depuis le 20 septembre, cinq personnes ont ainsi rejoint les équipes d'ATOL. Ces cinq travailleurs handicapés sont en charge de l'assemblage de montures et du conditionnement des collections privées d'ATOL.

Source : revue www.forumeco.fr, Chapitre Entreprises, 8 au 14 octobre 2012

jeudi 13 septembre 2012

- Solidarité Corgoloin : un grand cru pour soutenir les Papillons blancs

Mireille Santiard remet à Philippe Chaussade le fruit de la dernière vente. Photo Chantal Gauthray

Cette année, Mireille Santiard, gérante du domaine D’Ard’huy, a lancé la mise en vente de bouteilles d’un grand cru au profit des Papillons blancs.
En novembre dernier, Mireille Santiard, gérante du domaine D’Ard’huy, rendait hommage à son père Gabriel D’Ard’huy, décédé deux ans plus tôt, en lui dédiant la cuvée du Clos des Langres blanc Monopole 2009. Plus encore, les bouteilles de cette cuvée étaient mises en vente au profit de l’association des Papillons blancs, fondée en 1958 par M. D’Ard’huy.
Mercredi soir, au cours d’une réception organisée à l’Espace Gabriel du Clos des Langres, Mireille Santiard a remis les bénéfices de cette opération, soit 5 250 €, à Philippe Chaussade, président de l’association des Papillons blancs.
Ensuite, elle a annoncé et lancé la mise en vente des bouteilles de la cuvée Corton-Charlemagne grand cru La Vigne-Dieu, millésime 2010 (deux fûts en production), destinée à servir la même cause. Ce grand vin est issu d’une parcelle cadastrée Les Languettes, située au sommet de la colline de Corton, exposée sud – sud-est.
Mireille Santiard a présenté les particularités de sa vinification. « S’agissant d’un grand cru, au prix plus élevé, il est probable que la vente soit vraisemblablement moins rapide et le don arrivera sans doute plus tard », conclut-elle.

Source : Journal "Le Bien Public", édition Beaune, jeudi 13 septembre 2012

vendredi 13 juillet 2012

- Villars-Fontaine C’est parti pour quatre week-ends.

Les stands proposent divers produits gourmands et l’art est omniprésent. Photo Franck Bassoleil

La fête des Vill’arts a commencé sa nouvelle saison, le week-end dernier, avec l’inauguration à laquelle étaient présentes toutes les personnalités, le préfet Pascal Mailhos en tête, et de nombreux élus.
Pour cette deuxième édition, pas moins de dixs-huit villes et villages portant le même nom vont venir, au cours de ces quatre week-ends. Le maire de Villars-Fontaine, Pierre Lignier, a rappelé la dimension humaine et artistique que revêt cette manifestation qui rassemble des Villars de toute la France et même de Belgique et de Suisse.
Dès samedi, on pouvait admirer les 54 photos sur le thème “Terroirs et Climats”. Denis Thomas, au nom du conseil général et du tourisme, a souligné que c’était une bonne idée de marier la culture à la vie locale, surtout après la belle restauration de ce village.
Le rendez-vous suivant est fixé au samedi 21 et dimanche 22 juillet de 10 à 18 heures. Musique : Pierre Maury, accordéoniste, et la compagnie nuitonne. Dîner spectacle à 20 heures avec la compagnie du ¬Bareuzai.




Source :  Journal "Le Bien Public", édition Beaune, vendredi 13 juillet 2012

mardi 26 juin 2012

- Portes ouvertes avec les Papillons blancs

Les services d’activités de jour et résidentiel du Val de Saône, qui ont ouvert le 1er septembre 2008, accueillent respectivement quarante et vingt-quatre personnes présentant une déficience intellectuelle.
Ces services sont gérés par l’Association des papillons blancs de Beaune et sa région qui œuvre pour l’accompagnement des personnes en situation de handicap depuis plus de cinquante ans.
Le service d’activités de jour est ouvert deux cent vingt jours par an, du lundi au vendredi, et le service résidentiel, situé dans la même propriété, est ouvert tous le jours de l’année.
Quarante professionnels travaillent dans l’établissement dirigé par Michel Boizot et les bâtiments appartiennent à la Ville de Seurre.
Le personnel éducatif, en lien avec le projet de service, propose aux personnes accueillies des activités diversifiées dans les ateliers nature, cognitif et culturel, multimédia, esthétique, vie courante,  sportif, créatif et artistique, pour développer et valoriser leurs compétences, les intégrer dans la vie locale et participer à la citoyenneté.
Aussi, l’opération portes ouvertes a connu le succès avec de nombreux riverains et visiteurs de Seurre et des environs, des familles des résidants, des élus locaux comme le maire Roland Bonnaire.
Tous ont apprécié l’accueil du personnel, les animations dans les ateliers, les expositions diverses, le spectacle Voyage en Afrique joué par les résidants, les couloirs décorés et les espaces de détente aux couleurs agréables où il fait bon vivre.

Source : Journal "Le Bien Public", édition Beaune 26 juin 2012

jeudi 14 juin 2012

- Le langage sensoriel au service du bien être : un moment d’évasion musicale.

Six élèves des Papillons blancs, assidus de l’école de musique partagent du plaisir autour du langage sensoriel. Photo B. T.

Depuis trois ans, Marie-Cécile Thiebergien, directrice de l’école de musique Rives de Saône, accueille au château Magnin, les vendredis, quelques élèves des Papillons blancs de l’antenne de Seurre, afin de leur proposer un temps fort de plaisir musical partagé.
Cette année, ils sont six, accompagnés de Mickaël (aide médico-psychologue) et Valentin (stagiaire éducation technique). Ces élèves viennent de leur plein gré avec grande assiduité et attendent même avec impatience ce rendez-vous musical.
Vincent, Justine, Guillemette, Jennifer, Charline et Éric sont ravis de cette aubaine et de se retrouver autour de leur professeur, qu’ils ont surnommé Cécile facile… L’objectif principal de ces rencontres régulières, est de faire bénéficier à ces élèves des sensations agréables que la musique procure en étant jouée et écoutée.
Les cours sont bien sûr adaptés aux difficultés des jeunes, qui ont très vite apprivoisé cette activité musicale, ravis de se retrouver chaque semaine.

source : Journal "Le Bien Public", cahier local Seurre, 14 juin 2012

mardi 12 juin 2012

- Portes ouvertes aux Papillons Blancs.


L’association des Papillons Blancs de Beaune et sa Région, qui œuvre en faveur des personnes en situation de handicap sur le territoire, organise une opération portes ouvertes de ses locaux au 4 rue de Jallanges, vendredi, de 13 à 17 heures et samedi, de 9 heures à 12 h 30. Le personnel présentera aux visiteurs les locaux, les différents ateliers et les dispositifs d’accompagnement.

Source : Journal "Le Bien Public", édition Beaune, 12 juin 2012

mercredi 18 avril 2012

- Papillons blancs L’opération brioches aura lieu du 7 au 14 mai

Les bénévoles ont pris connaissance des conditions pour mener à bien cette vente de brioches.

Photo Mady Vernay

Les bénévoles de l’association Les Papillons blancs, qui aident à l’insertion des personnes en situation de handicap, se sont réunis mercredi dernier afin de mettre en place l’opération annuelle de vente de brioches qui aura lieu du 7 au 14 mai.
Depuis une vingtaine d’années, l’association, forte de trois cents bénévoles à Beaune et dans les communes environnantes, fait du porte-à-porte et propose contre un don une brioche. Chaque bénévole possédera un badge visible à la demande du public afin de mieux l’identifier et d’éviter ainsi les vendeurs malveillants.
Cette année, les fonds récoltés par la vente des 10 000 viennoiseries, seront utilisés pour l’amélioration du bâtiment de l’IME (Institut médico-éducatif) situé square de Cluny. D’après Philippe Kopp, membre de l’association, les dons sont en légère augmentation. En revanche, les bénévoles sont dans l’obligation d’augmenter les distances de déplacements pour accomplir leur mission de collecte.


Source : journal "Le Bien Public", édition Beaune, le 17 avril 2012

mercredi 28 mars 2012

- Autisme : un enfant sur 150 est concerné

Le label “Grande cause nationale 2012” a été attribué par le gouvernement au collectif d’associations Ensemble pour l’autisme.

L’autisme reste aujourd’hui difficile à assumer sur un plan social. Cela dit, les associations ont réussi à sensibiliser le gouvernement. Le point avec Fabien Joly, psychologue au CHU de Dijon.
Pendant longtemps, l’autisme était assimilé à une maladie honteuse. Depuis les années 2000, les mentalités ont évolué et les pouvoirs publics, avec la communauté médicale, ont participé à la création en 2005 des centres ressources autismes (CRA), dans chaque région de France. Ces CRA sont des lieux experts où l’on reçoit les familles, les professionnels du secteur médico-social, et où les diagnostics peuvent se faire.

Deux idées reçues

Fabien Joly est psychologue, psychanalyste et le coordinateur du CRA Bourgogne, entité installée au CHU de Dijon. A l’occasion de la journée mondiale de l’autisme du 2 avril, ce psychologue tient à rappeler que « la maladie autistique est une maladie du développement. A vrai dire, il y a donc plusieurs autismes, différentes particularités de fonctionnement avec des retards qui s’organisent au cours du développement, assez tôt, vers 3 ans. » Autrement dit, il faudrait diagnostiquer ces troubles dès le plus jeune âge, vers deux ans et demi,
trois ans, au lieu des neuf ans en moyenne en France. « Quand j’ai commencé dans ce métier, nos connaissances nous permettaient de dire qu’il y avait 4 à 5 enfants sur 10 000 qui étaient autistes.
Aujourd’hui, on dit 1 sur 150 », poursuit Fabien Joly. Reste alors une question : comment expliquer cette explosion du nombre de personnes avec des troubles autistiques ? Là encore, Fabien Joly explique qu’« on diagnostique mieux et, surtout, (qu’)on a changé les critères de diagnostic et d’évaluation, et élargi considérablement le spectre des troubles dit autistiques ».
Et les idées reçues sur l’autisme, ont-elles aussi évolué ? En existe-t-il encore ? Réponse du coordinateur du CRA Bourgogne : « Il y a au moins deux idées reçues, aussi injustes l’une que l’autre. La première, c’est que cette maladie du développement serait liée à un mauvais environnement. En gros, maman est déprimée, il y a des événements importants et difficiles dans la vie des parents, des éléments relationnels vont infléchir le développement de cet enfant qui va présenter un autisme. Ça, on l’a dit pendant 50 ans, et les parents se sont sentis très culpabilisés, ça a fait des dégâts. »
Seconde idée reçue, le fait que l’autisme serait une maladie génétique simple. « On n’a pas, comme dans la trisomie, un gène abîmé », note Fabien Joly, et il continue : « Pour combattre la première injustice, maintenant, on dit qu’on va trouver le gène de l’autisme : ce qui n’est pas possible. Autrement dit, l’autisme est bien un trouble du développement, inutile de culpabiliser qui que ce soit, et notamment les parents. Si on arrive à faire passer ce message, on calmera les guerres et les polémiques inutiles. »
Avec cette journée mondiale du 2 avril, les quelque mille associations qui existent en France comptent bien sensibiliser et l’opinion publique et les pouvoirs publics. D’autant que le véritable enjeu est d’apporter aux enfants autistes un soutien à la fois éducatif, pédagogique et thérapeutique favorisant une meilleure adaptation sociale.



Un accompagnement sur mesure : Le point avec Denis Graindorge, directeur du secteur enfance des PAPILLONS BLANCS

Exemple d'une structure d'accueil de jour d'enfants autistes avec l'IME du Square de Cluny et la section SERENATE, géré par l'association Les Papillons blancs de Beaune.
Ouvert en 2008, cette section SERENATE reçoit les enfants à partir de 3 ans (et jusqu'à 18-19 ans) et sur un rythme scolaire, du lundi au vendredi. Malgré les 15 places agréées, seules 8 places sont ouvertes, faute de financements supplémentaires.

En quoi consiste précisément votre mission auprès des enfants autistes ?

"L'idée, c'est de permettre de développer au maximum leur personnalité et leurs capacités, comme tout enfant. C'est donc leur apporter une éducation adaptée à leur handicap. En fait, l'idée de notre projet, c'est de leur offrir des prises en charge vraiment spécifiques en lien avec leur autisme, relativement individualisées. Notamment pour des problèmes de communication, des problèmes relationnels et d'apprentissage de la relation au monde extérieur courant. Tout ceci dans une optique de les faire accéder à une certaine forme de socialisation, soit par le biais d'une scolarisation, soit par l'accueil dans des groupes éducatifs, en lien avec un IME."

Recevez-vous beaucoup de demandes de familles qui souhaitent placer leur enfant ?

"Aujourd'hui, j'ai une dizaine de demandes en attente, sur huit places disponibles."

Que l'autisme soit déclaré grande cause nationale 2012, cela peut-il apporter quelque chose pour vous qui êtes professionnel ?

"La grande difficulté, c'est l'absence de financement. si cette mise en avant peut permettre de débloquer la situation, si ça peut aider à la création de structures d'accueil de jour ou d'internat, ce sera forcément une bonne chose, au-delà de la sensibilisation de l'opinion publique."

Comment cette prise en charge spécialisée est-elle vécue par les familles ?

"Elles étaient dans une telle attente qu'elles ont été soulagées. Mais il ne faut pas dénigrer ce qui se faisait avant, avec l'aide médico-sociale qui a développé un certain savoir-faire. Il faut aussi rappeler que l'accompagnement d'un enfant autiste doit être sur mesure, car il y aura énormément de formes d'expression d'autismes. Nous sommes dans quelque chose de complexe, rien n'est binaire. Nous ne sommes pas soit dans un tout psychanalytique, soit dans un tout éducatif."

Propos recueillis par Emmanuel HASLE


Source : journal "Le Bien Public" dossier Côte d'Or, mercredi 28 mars 2012


jeudi 15 mars 2012

- Théâtre Marivaux revu par Les Mots dits.

En costume d’époque, sur des airs contemporains, Marivaux a repris des couleurs. Photo B. C.

Vendredi, la troupe des Mots dits a investi la scène de la Comédie du vin, 12, boulevard Jules-Ferry, pour présenter sa vision très personnelle de l’écriture théâtrale de Marivaux.

Mise en scène par le comédien Matthieu Denis, Les Acteurs de bonne foi propose comme prétexte à la mise en valeur des travers, des turpides et règlements de compte familiaux, un mariage d’amour.

Pièce écrite dans le milieu du XVIII e siècle, elle permet sans aucun doute de rire, si ce n’est pas par pudeur, forcément de nous-mêmes, mais aussi de bien des personnes qui nous sont chères et que nous connaissons bien. Dans des costumes magnifiquement travaillés pour retrouver l’esprit de l’époque, mais accompagnés de chants et de musiques contemporaines, les situations se suivent pour un public qui rit et sourit volontiers aux jeux de scène dans lesquels les acteurs révèlent tout leur talent de comédien.

Malheureusement, alors que la recette était entièrement reversée au profit de l’association Les Papillons Blancs, qui œuvrent contre l’exclusion des personnes en situation de handicap, les spectateurs étaient plutôt rares et les rangs clairsemés dans la salle.


source : journal "Le Bien Public", édition Beaune, jeudi 15.03.2012

jeudi 8 mars 2012

- Marivaux à la Comédie du Vin

Les Mots Dits donneront une représentation, demain à La Comédie du vin, à 20 h 30. Mise en scène par Mathieu Denis, la pièce Les Acteurs de bonne foi est une libre adaptation de l’œuvre de Marivaux. Entrée 10 €. La recette de la soirée sera reversée au profit de l’association des Papillons blancs. Contact et réservations au 03.80.24.88.94.

source : "Le Bien Public", édition Beaune

lundi 13 février 2012

- des pâtes, encore des pâtes.


source : journal "Le Bien Public", édition Beaune, le 13/02/2012

jeudi 9 février 2012

- Opération Une assiette de pâtes au profit des Papillons blancs


L’opération “Une assiette de pâtes pour tous”, organisée par Rosario Boccarossa, chef cuisinier d’ ARome d’Italie, situé 21, boulevard Saint-Jacques, aura lieu samedi, à partir de midi au restaurant. De nombreux sponsors et bénévoles ont contribué à cette bonne œuvre, selon le souhait de Rosario, pour acheter les ingrédients nécessaires et pour prêter main-forte au service lors de l’événement. Rosario préparera des pâtes pour deux à trois cents personnes, à consommer sur place ou à emporter. Chacun sera libre de donner une participation en fonction de ses moyens.
L’argent récolté sera ensuite reversé au profit des actions des Papillons blancs. Les tables seront dressées dehors, mais en cette période de grands froids, l’équipe prévoit également de la place à l’intérieur du restaurant pour ceux qui souhaitent manger au chaud. « Ce sera aussi l’occasion de partager un moment de convivialité », conclut Rosario.


source : journal "Le Bien Public", édition Beaune 09 février 2012