Lors de la visite de trois de ses sites par la sous-préfète de Beaune, l’association Les Papillons blancs a dévoilé ses projets pour la rentrée.
Alors que les vacances scolaire viennent à peine de commencer, l’antenne beaunoise de l’association Les Papillons blanc, qui lutte pour l’insertion des personnes handicapées, travaille déjà à ses projets pour la rentrée.
« Dès septembre, une unité d’accueil IME ouvrira en face de l’école Bretonnière et une autre à côté du collège Monge », explique Denis Graindorge, le directeur de l’Institut médico-éducatif (IME) du Square de Cluny, à Beaune. L’objectif pour l’association est de s’insérer encore plus dans la vie ordinaire. « Nous cherchons l’inclusion, le plus possible », commente Jacques Berthet, le directeur général.
Toujours en septembre, un nouveau Sessad (Service d’éducation spéciale et de soins à domicile) permettra de prendre en charge sept enfants autistes de plus que les dix dont s’occupe déjà le service Serenate. « Avec les PEP71, nous avons répondu à un appel à projet et nous avons obtenu une réponse positive en juin », ajoute Jacques Berthet. En plus des sept places allouées à Beaune, treize autres vont être ouvertes dans le Châlonnais. Si les projets des Papillons blancs avancent, Denis Graindorge souligne quelques problème que l’association doit gérer au quotidien : « la pénurie d’orthophonistes en institutionnel » ou encore « le manque de places de pédopsychiatrie en hospitalisation ». De plus, l’IME souhaiterait déménager. « Les Locaux actuels ne sont plus du tout adaptés aux standards et aux besoins de notre époque », commente Denis Graindorge. Mais depuis 2010, le projet n’avance pas.
« Notion de travail »
Les Papillons blancs beaunois emploient 360 salariés en équivalent temps plein et gèrent dix-sept établissements, dont l’IME, l’IMPro (Institut médico-professionnel, dédié à la formation professionnelle,) et l’ESAT (Etablissement et Service d’Aide par le Travail), visités lundi par Anne Frackowiak-Jacobs. Ce dernier emploie 98 travailleurs handicapés, sous-traitant pour les établissements Urgo ou encore Edmond Fallot. Pour l’association, l’inclusion passe par le travail. « Et nous nous battons pour que cette notion subsiste », conclut Jacques Berthet.
« Dès septembre, une unité d’accueil IME ouvrira en face de l’école Bretonnière et une autre à côté du collège Monge », explique Denis Graindorge, le directeur de l’Institut médico-éducatif (IME) du Square de Cluny, à Beaune. L’objectif pour l’association est de s’insérer encore plus dans la vie ordinaire. « Nous cherchons l’inclusion, le plus possible », commente Jacques Berthet, le directeur général.
Toujours en septembre, un nouveau Sessad (Service d’éducation spéciale et de soins à domicile) permettra de prendre en charge sept enfants autistes de plus que les dix dont s’occupe déjà le service Serenate. « Avec les PEP71, nous avons répondu à un appel à projet et nous avons obtenu une réponse positive en juin », ajoute Jacques Berthet. En plus des sept places allouées à Beaune, treize autres vont être ouvertes dans le Châlonnais. Si les projets des Papillons blancs avancent, Denis Graindorge souligne quelques problème que l’association doit gérer au quotidien : « la pénurie d’orthophonistes en institutionnel » ou encore « le manque de places de pédopsychiatrie en hospitalisation ». De plus, l’IME souhaiterait déménager. « Les Locaux actuels ne sont plus du tout adaptés aux standards et aux besoins de notre époque », commente Denis Graindorge. Mais depuis 2010, le projet n’avance pas.
« Notion de travail »
Les Papillons blancs beaunois emploient 360 salariés en équivalent temps plein et gèrent dix-sept établissements, dont l’IME, l’IMPro (Institut médico-professionnel, dédié à la formation professionnelle,) et l’ESAT (Etablissement et Service d’Aide par le Travail), visités lundi par Anne Frackowiak-Jacobs. Ce dernier emploie 98 travailleurs handicapés, sous-traitant pour les établissements Urgo ou encore Edmond Fallot. Pour l’association, l’inclusion passe par le travail. « Et nous nous battons pour que cette notion subsiste », conclut Jacques Berthet.
source : Journal "Le Bien Public", édition Beaune, 11 juillet 2014